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mardi 30 juillet 2013
lundi 29 juillet 2013
Produire plus de blé avec moins avec l’utilisation de variétés inexploitées
Le NIAB a conçu une nouvelle variété de blé qui est plus tolérante à la sécheresse et plus résistante aux maladies. Les scientifiques britanniques disent qu'ils ont créé un nouveau type de "super blé" qui pourrait augmenter la productivité de près de 30% (17t/ha obtenus en Nouvelle Zélande).
L'Institut national de botanique agricole (NIAB) a combiné les variétés modernes de blé avec des anciennes « herbes de chèvres » pour produire de nouvelles souches plus productives, qui augmentent également la résistance de la plante aux maladies et sa tolérance à la sécheresse.
Cette avancée utilise l’hybridation contrôlée
entre
des
variétés de céréales lointainement liées comme le blé
dur et de l'herbe de chèvre sauvage
pour
créer un hexaploïde synthétique qui est entièrement compatible
avec
les blés
panifiables modernes.
Dr Phil Howell, de la NIAB, a déclaré « le progrès technique est indispensable pour nourrir la population mondiale croissante. Nous avons atteint un plateau dans l’augmentation des rendements de céréales qu’il convient de dépasser… David Gardner, directeur général de la Royal Agricultural Society, a déclaré à la Countryfile que le Royaume-Uni devait faire plus pour faire des percées scientifiques à l’intention des exploitations agricoles. M. Gardner a déclaré: «Je pense que le Royaume-Uni est en excellents termes avec ce que nous appelons la science ou des sciences de ciel bleu »
Dr Phil Howell, de la NIAB, a déclaré « le progrès technique est indispensable pour nourrir la population mondiale croissante. Nous avons atteint un plateau dans l’augmentation des rendements de céréales qu’il convient de dépasser… David Gardner, directeur général de la Royal Agricultural Society, a déclaré à la Countryfile que le Royaume-Uni devait faire plus pour faire des percées scientifiques à l’intention des exploitations agricoles. M. Gardner a déclaré: «Je pense que le Royaume-Uni est en excellents termes avec ce que nous appelons la science ou des sciences de ciel bleu »
samedi 27 juillet 2013
Du blé OGM en Oregon?
Une variété de blé «Roundup Ready» développé par Monsanto Co. pour résister à son herbicide à base de glyphosate a été retrouvée dans la chaîne alimentaire en Oregon.
Les essais de cette variété avaient été réalisés en terrain clos, il y a des années, et la variété n'a jamais été approuvée pour l’utilisation commerciale par l’USDA. Elle n'aurait pas dû être cultivée. Le Japon et la Corée du Sud ont reporté leurs nouveaux achats de blé tendre.
Ils sont des acheteurs très tranchés et disciplinés et tout à fait capable de faire des tests supplémentaires pour détecter la présence de matériel génétiquement modifié. Le Japon un gros acheteur de blé américain réalise déjà 100 tests de résidus sur le blé importé. Une nouvelle question apparaît: qui paiera les analyses qui attestent que le blé exporté ne contient pas d’OGM ?Le mystère devrait avoir des répercussions sur le marché international du grain car la plupart des pays n’acceptent pas pour la consommation humaine de blé OGM.
La paye des moissonneurs de Lhermitte (1844-1925)
La plus importante acquisition de sociétés américaines sur la sellette
L’acquisition chinoise de la plus
importante société américaine d’abattage de porcs est
sur la sellette à Washington. Les
4,7 milliards $ pour l'achat par
Shuanghui de Smithfield
(avec prime de 30% du prix de l’action) soulève des questions troublantes au sujet de la sécurité alimentaire américaine et de
la concurrence.
M.
Lary Pope chef de la direction de Smithfield défend l'accord, affirmant que le nouveau
groupe combiné serait en mesure de répondre à la demande croissante pour les
produits du porc en Chine et aux États-Unis et qu’il bénéficierait aux producteurs,
aux emplois et aux exportations US.Il
a souligné que Shuanghui, l'actionnaire majoritaire de la plus grande
entreprise de transformation de viande de la Chine, est disposé à conserver
l'équipe de direction du groupe américain, les usines, les 46.000 employés, et de
maintenir l'ensemble des contrats américains existants de l'entreprise avec les
agriculteurs familiaux.
Daniel Slane, qui siège au Comité économique américano-chinois et
à la Commission de révision, est ouvertement hostile à l'accord, disant que c'est
un moyen pour la Chine de contrôler le prix international de viande de porc et aussi
d'acquérir «une technologie très précieuse ainsi que la génétique du porc"
Des sénateurs exercent une pression politique sur
l'administration Obama, qui a le dernier mot pour gérer l'offre d’achat.
Pour en savoir plusL’Administration Obama cherche à remanier l'aide alimentaire internationale
L'aide alimentaire est l'un des instruments les plus importants de la politique étrangère américaine. Depuis le milieu des années 1950, les États-Unis ont dépensé près de 2 milliards de dollars par an pour nourrir les plus pauvres, sauvant ainsi des millions de vies.
Mais ce processus est rigide et dépassé. Les experts disent que la vente ou
distribution de produits américains dans les pays en développement entraîne souvent une baisse des prix sur les marchés locaux et décourage la production alimentaire locale, ce qui va à
l'encontre de l'objectif d'encourager l'autosuffisance. Les réformes proposées par le président
Obama vont dans le bon chemin et devraient être adopté rapidement par le Congrès.
Selon la loi actuelle, une grande majorité de l'aide
alimentaire internationale doit être acheté auprès
des agriculteurs américains à travers
le ministère de l'Agriculture et expédiée à l'étranger dans des navires battant pavillon américain.
Cela a été une aubaine pour les agriculteurs nationaux et les expéditeurs.
En
vertu d'une proposition dans le nouveau budget de M. Obama, près
de la moitié de la 1,5 G $ demandés pour l'aide
alimentaire en 2014 pourraient
plutôt être utilisés pour acheter
de la nourriture dans des pays
dans le besoin ou à fournir aux bénéficiaires individuels des chèques ou des cartes de débit pour les achats alimentaires de produits
locaux. La nourriture achetée localement
sera moins chère et réduira les coûts d'expédition qui consomment en viron 16
pour cent du budget de l'aide alimentaire.
Pour en savoir plusLa robotique, pour récolter les fruits et légumes, expérimentée en Californie
Les fruits et légumes destinés au marché frais, ont jusqu'à présent résisté à la mécanisation, car ils sont sensibles aux meurtrissures. Mais les chercheurs américains travaillent pour concevoir des robots pour ces cultures en intégrant des capteurs avancés, une puissante informatique, la vision par ordinateur, du matériel et des algorithmes de robotique, ainsi que les réseaux et les technologies de localisation GPS de haute précision.
Pour récolter les fraises par exemple, un prototype est équipé
de 24 bras dont les mouvements
sont dirigés grâce à un capteur optique.
Il permet au robot de faire un choix
sur la base de la couleur du fruit, de sa qualité et de sa taille. Les fruits sont pincés et
placés sur une bande transporteuse, où ils sont ensuite emballés par un ouvrier.
La récolteuse ne recueille que des fraises qui sont suspendus sur les côtés de la planche. En conséquence, les champs de fraises de la Californie devront être remodelés pour accueillir la machine, avec une ligne simple, des hampes de fruits rigides et dressées ce qui implique une nouvelle sélection de variétés ayant aussi une meilleure homogénéité de maturité.
La récolteuse ne recueille que des fraises qui sont suspendus sur les côtés de la planche. En conséquence, les champs de fraises de la Californie devront être remodelés pour accueillir la machine, avec une ligne simple, des hampes de fruits rigides et dressées ce qui implique une nouvelle sélection de variétés ayant aussi une meilleure homogénéité de maturité.
Comme
la disponibilité de la main d’œuvre est faible parce que personne ne veut plus
travailler dans les champs, les robots seront une des solutions pour les années
à venir. Les hommes ont bien marché sur la Lune, ils doivent bien être capables
de mettre au point ces nouvelles technologies.
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